Textes et Documents » Robenson d’Haiti

📂 Shirley Pierre-Louis signe son « En quête du bonheur »

Texte reçu le 20 juillet 2012

Par Robenson D’Haïti
Couverture du roman: En quête du bonheurAnabelle, la protagoniste du roman, ne se résigne pas. Elle part à la recherche de ce qui aurait pu se produire. Ce faisant, elle remet en question l’accompli. Elle n’hésitera pas à se hasarder dans un passé pas trop lointain, mais flou, dût-elle aller jusqu’à dérégler l’horloge et remonter le temps pour actualiser son passé où vivent des hommes qui auraient pu faire son bonheur. Son mariage achevé ne l’achèvera pas.

Dans le texte accroche, on lit : « Une jeune fille insatisfaite de sa vie maritale actuelle caresse le rêve fou de se projeter en arrière pour voir ce qu’elle serait devenue si elle s’était liée à d’anciens courtisans. » Ainsi son mari, William Cannelle, vivra-t-il dans une violence conjugale silencieuse sur le plan psychique pendant deux ans. Les nombreuses qualités de William ne répondent pas aux critères prédéfinis par Anabelle qui se voit plutôt marié à un partenaire bien positionné. Elle tente incessamment de refabriquer son époux : « Trouve-toi un meilleur emploi pour faire face à toutes ces dépenses. Ne reste pas les bras croisés !(…) J’aimerais m’offrir certains plaisirs sains avant d’embrasser la routine maternelle… Si je te demande d’aller au cinéma, tu dois utiliser ta calculatrice une dizaine de fois pour savoir si tes économies te le permettront. » (suite…)

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📂 Le département du Sud-Est assoiffé de mangroves

Texte reçu le 28 mai 2012

Par Robenson d’Haiti

Le Centre de Pêche Maritime de Cayes-Jacmel a produit récemment une demande de 1500 plantules de palétuviers au ministère de l’environnement par le biais de l’Agence Internationale pour le Développement (AECID) pour camper une mangrove dans la région et concomitamment y favoriser la pêche.

Mangroves

30Des dix communes du département du Sud-est, huit sont côtières : Jacmel, Marigot, Cayes-Jacmel, Grand Gosier, Anse-à-Pitres, Bainet, Côte de Fer et Belle-Anse. (suite…)

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📂 Ti Sentaniz danse contre la domesticité

Texte reçu le 30 janvier 2012

Par Robenson D’Haïti

« Merveilleux, d’une brillance rare », tels sont les propos des spectateurs avisés ayant assisté au spectacle intitulé, ’’ Ti Sentaniz en Spectacle de danse’’ à l’auditorium de Sainte Rose de Lima. Le titre évoque bien le parcours du personnage à travers les différentes formes artistiques.

 

Qui ne connait pas Ti Sentaniz ?

S’il est vrai que l’on est bien servi que par soi-même, chacun voudrait avoir un enfant qui n’est pas le sien à son service. Donc, nul ne peut prétendre ne pas connaître Ti Sentaniz. Ce personnage de fiction créé par l’audienceur Maurice Sixto a l’avantage de devenir aujourd’hui une arme contre la domesticité. Un outil de sensibilisation ! D’où son adaptation au cinéma et en bande dessinée. Il ne restait plus que de tenir le pari au niveau de la danse. Un pari risqué: l’éducation par l’art. (suite…)

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📂 Michel Soukar démasque le président Fabre Geffrard. Cora Geffrard : Mention spéciale de l’ADELF

Texte reçu le 27 décembre 2011

Par Robenson d’Haiti

Michel Soukar, Copyright Mémoire d’encrierL’année 2011 tire à sa fin. Et, deux ans à peine  après sa publication, le roman de Michel Soukar, Cora Geffrard(1) s’est vu décerner une mention spéciale du grand prix littéraire Caraïbes de l’Association des écrivains de langue française (ADELF). Au fait, c’est une mention spéciale  pour  une mission spéciale.

Cora Geffrard, la fille du Président Fabre Geffrard(2), meurt assassinée. Seize accusés sont fusillés. Étaient-ils les véritables assassins ? C’est justement à cette énigme que s’est attaquée la  plume de l’historien sur un territoire hautement romanesque et romancé. (suite…)

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📂 Billet aux Ateliers Jérôme

Par Robenson D’Haïti
Pasko au travail
Pasko au travail

Voila déjà deux jours, Mireille (1), que je reviens de l’exposition que vous tenez à votre galerie. Tout autant, ou peut-être encore plus, que les autres expositions tenues aux Ateliers Jérôme en prélude au 25ème anniversaire, celle-ci m’a marqué, surtout par la force mobilisatrice de son titre double : Pasko, l’infini du même, le même à l’infini. L’artiste serait-il cet espace, le même, à la fois délimité et sans bornes ? Ou serait-il cet espace, encore le même, explorant sans cesse ses propres frontières pour les balayer ? S’agirait-il de ce Pierre-Pascal Mérisier, Pasko(2), le même, mais toujours tendu vers de nouveaux espaces du Verbe ? Les questions se multiplient à l’infini. (suite…)

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