📂 Le « tèt ansanm », la clé de notre réussite
📅 Publié le jeudi 20 novembre 2003 à 13h26
Les Haitiens ont fait 1804, parce qu’ils avaient compris que les enjeux de leurs actions étaient trop importants pour ne pas réussir. (suite…)
Les Haitiens ont fait 1804, parce qu’ils avaient compris que les enjeux de leurs actions étaient trop importants pour ne pas réussir. (suite…)
Parti de New York le Samedi 10 Juin 1933, l’avion piloté par le Canadien Errol Boyd et transportant à son bord deux passagers: les sieurs R. Lyon et H.P. Davis, devait atteindre Port-au-Prince le lendemain; des intempéries cependant l’obligèrent à attérir à Saint Marc (Département de l’Artibonite). (suite…)
Toutefois, ce terme disparut du vocabulaire haitien quand certains des fameux consolidards [Cincinnatus Leconte (1911-1912), Tancrède Auguste (1912-1913), Vilbrun Guillaume Sam (9 Mars 1915 – 27 Juillet 1915)] devinrent chefs du pouvoir exécutif.
Le terme a disparu, mais les biens et les ressources de l’Etat restent une convoitise pour beaucoup de fonctionnaires et de candidats aux postes administratifs. Certains se lancent, avec une accélération frénétique dans l’accumulation de biens à travers une exploitation personnelle et maximale des ressources mises à leur disposition. (suite…)
Avant le démarrage des négociations entre le gouvernement de Jean Pierre Boyer (1818-1843) et la France en vue de la reconnaissance de l’indépendance d’Haiti, cette dernière avait, en plusieurs occasions, offert aux responsables Haïtiens de régler pacifiquement le problème de « Saint-Domingue ».
En octobre 1814, par exemple, elle invita le gouvernement de l’Ouest dirigé par Alexandre Pétion à se ressaisir et revenir dans son sillage en réintroduisant la « souveraineté absolue » de l’ancienne métropole sur l’île. En 1816, elle revint à la charge et proposa une « souveraineté constitutionnelle ». En 1821, elle annonça au gouvernement haïtien qu’elle était décidée a « consacrer » l »indépendance d’Haiti, à condition que des « droits de suzeraineté » lui soient octroyés et des indemnités pour la « cession du territoire et des propriétés » payées. (suite…)