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📂 …Et si nos vieux pouvaient encore sourire

Photo de Patrick-André Perron
utilisée avec la permission du photographe
Et si nos vieux pouvaient afficher, chaque jour, ce même sourire.
Et si nous nous laissions contagier par ce sourire.
Et si notre sourire inspirait confiance aux autres et le leur nous inspirait du coup confiance.
Et s’il devenait un signe empreint de sincérité traduisant notre bonheur de revoir, dès leur débarquement, des compatriotes de la diaspora venus se ressourcer et se retremper.
Et si ce sourire arrivait à déconcerter les étrangers qui nous voient encore à travers le prisme de leurs préjugés.
Des rêves et illusions, diront certains.
Des défis, disons nous.
Des défis qui pourtant restent dans le domaine du possible.

J.A.

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📂 On annihile les enfants de Dessalines

Une mère inconsolable.
Une mère inconsolable.

Ses enfants viennent d’être assassinés par les forces des Nations Unies appelées MINUSTAH

Deux jours après la commémoration du bicentenaire de l’odieux assassinat du fondateur de la patrie, les forces des Nations Unies appelées MINUSTAH, et qui se trouvent dans le pays depuis plus de deux ans, viennent d’assassiner deux de ses enfants vivant à Cité Soleil. Elles avaient auparavant  détruit plusieurs maisonnettes adjacentes à leur base, d’où le mécontentement des riverains. (suite…)

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📂 Viol en Haiti

Le viol qui avait été un sujet tabou et pratiqué par les fils de parents aisés sur les petites domestiques, devint, à la suite du coup d’état du 30 septembre 1991, une pratique exercée non seulement par des criminels et deviants sexuels, mais aussi par des activistes politiques tendant à imposer silence à leurs opposants.

(suite…)

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📂 Cyclone Ernesto: Les Cayes inondées

Une rue inondée de la ville des Cayes
Une rue inondée de la ville des Cayes

Une rue inondée de la ville des Cayes (Département du Sud) après le passage du cyclone Ernesto le 27 août dernier.

Deux jours après, on a toujours pas une évaluation des dégâts causés par les rafales de vent et les fortes pluies déversées notamment sur la presqu’île du Sud par ce cyclone.

On ne peut s’empêcher de penser au village Mapou et à la ville des Gonaïves, frappés sévèrement, deux ans plus tôt, par les intempéries de cette saison. Le gouvernement intérimaire d’alors, dépassé, n’a pas pu porter secours à la population des zones sinistrées, laissant cette responsabilité aux mains des étrangers.

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