📂 Seïsme du 12 janvier 2010: les premières photos
📅 Texte publié le mercredi 13 janvier 2010 à 20h25
(Cpl. Matthew McGregor, avant, Jorge Cruz, après)
Textes et Documents » Catégorie : Désastres naturels
(Cpl. Matthew McGregor, avant, Jorge Cruz, après)
📂 Seïsme du 12 janvier 2010: Un jour après
📅 Texte publié le mercredi 13 janvier 2010 à 13h59
Hier, un peu avant 17 :00 (heure locale), un séisme d’une magnitude supérieure à 7, sur l’échelle de Richter, secoua la capitale haïtienne Port-au-Prince et plusieurs villes des Département de Nippes, de l’ouest et du Sud-Est. Il fut suivi de plusieurs répliques.
Très tôt ce matin, les premières nouvelles fiables commencent à nous parvenir.
En cette désastreuse situation, nous voulons que notre site devienne un journal pendant les jours à venir :
- Haiti-Référence vient d’apprendre que l’archevêque de Port-au-Prince, Mgr Miot, est parmi les victimes.
Mgr Miot,
- Nous sommes 4 pompiers de Montréal qui désire aller aider en Haiti. Nous avons besoin de ressource pour les billets d’avion et rendu sur place: welsh90@hotmail.com (Reçu par E-mail)
- Entre 18:00 hier soir et 17:28 aujourd’hui (13 jan. 2010), il y eut pres de 37 repliques.
- Between 6:00 PM on Tuesday and 5:28 PM on Wednesday, they have been around 37 aftershocks.
- Maitre Hubert Sanon, un salésien de Don Bosco, est l’une des milliers de victimes du seïsme. Longtemps conseiller de l’École Nationale des Arts et Métiers (ENAM), il a formé des milliers de techniciens sur une période de plus de cinquante ans.
📂 Gonaives: inondées une seconde fois
📅 Texte publié le vendredi 5 septembre 2008 à 15h40
après le passage du cyclone Hanna:
Une ville complètement inondée.
Photos de l’agence AP
📂 Cyclone Ernesto: Les Cayes inondées
📅 Texte publié le lundi 28 août 2006 à 11h09
Une rue inondée de la ville des Cayes (Département du Sud) après le passage du cyclone Ernesto le 27 août dernier.
Deux jours après, on a toujours pas une évaluation des dégâts causés par les rafales de vent et les fortes pluies déversées notamment sur la presqu’île du Sud par ce cyclone.
On ne peut s’empêcher de penser au village Mapou et à la ville des Gonaïves, frappés sévèrement, deux ans plus tôt, par les intempéries de cette saison. Le gouvernement intérimaire d’alors, dépassé, n’a pas pu porter secours à la population des zones sinistrées, laissant cette responsabilité aux mains des étrangers.